D'une mani\u00e8re g\u00e9n\u00e9rale, et comme le pr\u00e9cise Xiaomi en rappelant que le d\u00e9veloppement d'HyperOS a d\u00e9marr\u00e9 en 2017, ce dernier doit “apporter de la coh\u00e9rence au paysage de l'IoT” (l'internet des objets). Le noyau dur d'HyperOS se base sur Linux<\/strong> et le syst\u00e8me Vela<\/strong> cr\u00e9\u00e9 par la firme. Il “prend en charge plus de 200 types de processeurs et plus de 20 syst\u00e8mes de fichiers standard, couvrant des centaines de types d'appareils”. \u00c0 titre d'exemple, HyperOS peut tourner avec seulement 64 Kb de RAM<\/strong>, mais peut en supporter jusqu'\u00e0 24 Go<\/strong> au besoin.<\/p>\n
Con\u00e7u pour \u00eatre le plus l\u00e9ger possible, HyperOS occupera 8,75 Go sur les smartphones Xiaomi<\/strong>. Cela en fait le plus l\u00e9ger \u00e0 l'heure actuelle. Il veut \u00e9galement \u00eatre efficace en mati\u00e8re de performance et de consommation \u00e9nerg\u00e9tique. Ainsi, faire tourner un jeu exigeant en ressources<\/strong> sur un mobile utilisant HyperOS r\u00e9sultera en “une fr\u00e9quence d'images plus stable et une consommation d'\u00e9nergie plus faible”, compar\u00e9 \u00e0 la version stock d'Android par exemple (selon les chiffres mesur\u00e9s par Xiaomi).<\/p>\n