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L'ESA, \u00e7a vous dit quelque chose ? Il s'agit de l'Entertainment Software Association, une association am\u00e9ricaine qui repr\u00e9sente les principaux acteurs du jeu vid\u00e9o comme Activision-Blizzard, Epic Games, EA, Ubisoft, PlayStation, Nintendo ou encore Microsoft. L'institution se charge d'ailleurs d'organiser chaque ann\u00e9e le c\u00e9l\u00e8bre salon internationale du jeu vid\u00e9o : l'E3. Enfin, on devrait plut\u00f4t en parler au pass\u00e9 parce qu'apr\u00e8s l'annulation de l'\u00e9dition 2023<\/a>, on ne sait toujours pas si l'E3 reviendra en 2024<\/a>…<\/p>\n
Mais oublions l'E3 pour nous concentrer sur le nouveau rapport publi\u00e9 par l'ESA. L'organisme vient de partager une liste qui regroupe \u00e0 ses yeux les principaux sites et services pirates<\/strong> qui menacent l'industrie du JV. Cette liste a \u00e9t\u00e9 soumise \u00e0 l'USTR, le Bureau du repr\u00e9sentant am\u00e9ricain du commerce.<\/p>\n