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Bollor\u00e9 T\u00e9l\u00e9coms, cela vous dit quelque chose ? En 2005, le milliardaire Vincent Bollor\u00e9 tente \u00e0 son tour une incursion dans le secteur des t\u00e9l\u00e9coms<\/strong>. Pour garantir son succ\u00e8s, l'industrie mise tout sur le WiMax<\/strong>, une nouvelle technologie cens\u00e9e r\u00e9volutionner l'internet mobile et supplanter le Wi-Fi. Il faut dire que la norme \u00e9tait prometteuse, avec des d\u00e9bits nettement sup\u00e9rieurs \u00e0 ceux offerts par la 3G et l'ADSL.<\/p>\n
En 2009, Bollor\u00e9 T\u00e9l\u00e9coms \u00e9taient \u00e0 la t\u00eate de 20 licences r\u00e9gionales<\/strong> (10 de plus par la suite), et Free s'\u00e9tait positionn\u00e9 comme l'unique fournisseur d'acc\u00e8s. Mais la sauce n'a jamais vraiment pris. La faute notamment \u00e0 Intel. En effet, l'entreprise s'\u00e9tait engag\u00e9e \u00e0 rendre compatible avec le WiMax l'ensemble de ses microprocesseurs pour smartphones et PC portables. Une promesse finalement non-tenue.<\/p>\n