Cr\u00e9dit : Google<\/figcaption><\/figure>\n
Les Chromebooks sont des alternatives de plus en plus valables aux PC<\/strong> sous Windows, Linux ou macOS. Nombre de fabricants proposent d\u2019ores et d\u00e9j\u00e0 des ordinateurs tirant parti de Chrome OS<\/strong>, le syst\u00e8me d\u2019exploitation propri\u00e9taire lanc\u00e9 par Google en 2009. Surfer sur le Web avec Chrome, consulter Gmail, r\u00e9diger du texte sur Drive, aller sur YouTube ; ces machines, construites en partenariat avec Acer, Asus, Lenovo ou encore HP<\/strong>, permettent d\u2019accomplir vite et bien les t\u00e2ches du quotidien. Ils ont pour avantage d\u2019\u00eatre rapides, endurants et l\u00e9gers<\/strong>, tout cela pour un prix g\u00e9n\u00e9ralement plus abordable qu\u2019un \u00e9quivalent sous Windows 11<\/a>.<\/p>\n
\u00c0 lire \u2014 <\/strong>Chromebook : bonne nouvelle, les ordinateurs recevront des mises \u00e0 jour pendant 10 ans<\/strong><\/a><\/p>\n
Cela dit, les Chromebooks ne sont pas exempts de d\u00e9fauts. Ils imposent l\u2019utilisation des services de Google<\/strong> et surtout, ils montrent leurs limites dans les t\u00e2ches intensives<\/strong>, le gaming, par exemple. Les Chromebooks sont donc des machines adapt\u00e9es aux \u00e9tudiants<\/a> en communication, par exemple, mais pas vraiment aux professionnels en recherche de puissance de traitement. La nouvelle famille de Chromebook Plus<\/strong> officialis\u00e9e par Acer, Asus, Lenovo et HP pourrait d\u00e9construire ces pr\u00e9jug\u00e9s.<\/p>\n