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Vous commencez \u00e0 avoir l'habitude si vous lisez r\u00e9guli\u00e8rement l'actualit\u00e9 Tech : l'intelligence artificielle se d\u00e9veloppe \u00e0 vitesse grand V dans presque tous les domaines. Pour redonner leur voix \u00e0 deux femmes rendues muettes par une maladie<\/a>, ou \u00e9crire \u00e0 votre place dans n'importe quelle application<\/a>, en passant par (malheureusement) remplacer les journalistes<\/a>… Il y a l'embarras du choix, et un point commun immuable. Toutes ces IA ont d\u00fb \u00eatre entra\u00een\u00e9es<\/strong> via l'une de ces solutions : automatiquement, en les faisant parcourir le Web<\/strong> par exemple, ou par des interactions humaines.<\/p>\n
Pour ce faire, il faut engager des gens et les payer. C'est un travail apr\u00e8s tout. OpenAI<\/strong> par exemple, l'entreprise derri\u00e8re ChatGPT<\/a>, confie cela \u00e0 une firme qui embauche des “clickworkers” (litt\u00e9ralement “travailleurs du clic”) essentiellement au Kenya, en Ouganda ou en Inde. Cela fonctionne notamment car l'IA “parle” anglais, langue tr\u00e8s r\u00e9pandue dans le monde. Mais qu'en est-il quand vous entra\u00eenez un syst\u00e8me, disons, finlandais ? Il vaut mieux chercher directement dans le pays, sauf que ce sont des emplois mal pay\u00e9s<\/strong>. Une startup a trouv\u00e9 une solution cependant.<\/p>\n