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Bient\u00f4t la fin des publicit\u00e9s sur Facebook et Instagram en Europe ?<\/strong> Comme vous le savez peut-\u00eatre, Meta est en conflit avec plusieurs organismes de r\u00e9gulation europ\u00e9ens. La firme est accus\u00e9e de plusieurs violations pr\u00e9sum\u00e9es de la vie priv\u00e9e des utilisateurs, notamment dans le cadre de ses services de suivi publicitaire et le transfert des donn\u00e9es personnelles.<\/p>\n
Souvenez-vous, en 2020, l'Union Europ\u00e9enne a annonc\u00e9 la fin du Privacy Shield, un accord qui permettait notamment aux entreprises am\u00e9ricaines de r\u00e9colter et transf\u00e9rer les donn\u00e9es des utilisateurs europ\u00e9ens vers le pays de l'Oncle Sam. Bien entendu, la nouvelle n'a pas vraiment \u00e9t\u00e9 appr\u00e9ci\u00e9e par Facebook, dont l'essentiel des revenus repose sur la publicit\u00e9 et le traitement des donn\u00e9es des utilisateurs.<\/strong><\/p>\n
L'entreprise am\u00e9ricaine a d\u00e9cid\u00e9 de ne pas se plier \u00e0 la nouvelle r\u00e9glementation<\/strong> et en mai 2023, la sanction est finalement tomb\u00e9e. Le r\u00e9gulateur irlandais a inflig\u00e9 une amende record \u00e0 Meta de 1,2 milliard d'euros<\/a>. Pour \u00e9viter de s'acquitter de ce montant cons\u00e9quent, Meta avait 5 mois pour mettre fin \u00e0 tout transfert de donn\u00e9es vers les USA, puis 6 mois suppl\u00e9mentaires pour annuler toute utilisation ou stockage ill\u00e9gale de ces informations.<\/p>\n