Cr\u00e9dits : 123RF<\/figcaption><\/figure>\n
Le fonctionnement d'Android, c'est de l'ART<\/strong>. Derri\u00e8re ce jeu de mots facile se cache un composant essentiel du syst\u00e8me d'exploitation mobile de Google<\/strong>. Il fut un temps o\u00f9 Android utilisait la machine virtuelle Dalvik<\/strong>. Lors de l'arriv\u00e9e d'Android 5.0 Lollipop<\/strong> en 2014, elle laisse sa place \u00e0 ART<\/a>, l'acronyme de Android RunTime<\/strong>. Le changement est important. Avec Dalvik, les donn\u00e9es d'une application \u00e9taient compil\u00e9es \u00e0 chaque ouverture. ART le fait au moment de l'installation<\/strong>. R\u00e9sultat : l'appli est plus longue \u00e0 installer, mais s'ouvre plus vite<\/strong>, puisqu'elle n'a besoin d'\u00eatre compil\u00e9e qu'une seule fois.<\/p>\n
Depuis Android 12<\/a>, ART est mis \u00e0 jour ind\u00e9pendamment du syst\u00e8me<\/strong>. Cela veut dire que m\u00eame un smartphone qui ne re\u00e7oit plus les nouvelles versions d'Android peut profiter de celles de ART<\/strong> pour am\u00e9liorer “les temps de d\u00e9marrage, la vitesse d'ex\u00e9cution et l'utilisation de la m\u00e9moire” des applications, comme le rappelle Google<\/a>. Pour la firme, mettre \u00e0 jour ART veut dire tester tous les jours 18 millions d'APK<\/strong> pour v\u00e9rifier que tout fonctionne bien.<\/p>\n