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En 2020, quand la pand\u00e9mie de COVID-19<\/strong> touche le monde entier, le t\u00e9l\u00e9travail devient une n\u00e9cessit\u00e9<\/strong>. Des entreprises sortent alors leur \u00e9pingle du jeu en devenant des r\u00e9f\u00e9rences de ce nouveau mode de vie professionnelle<\/strong>. Parmi elles, Zoom<\/strong>, qui d\u00e9veloppe un logiciel de visioconf\u00e9rence aujourd\u2019hui archiconnu. Les d\u00e9buts sont un peu difficiles, surtout au niveau des fuites de donn\u00e9es personnelles<\/a>, mais au final, le programme s'impose et la firme se d\u00e9veloppe tr\u00e8s rapidement<\/strong>.<\/p>\n
La crise pass\u00e9e, de nombreuses entreprises demandent \u00e0 leurs employ\u00e9s de revenir totalement ou partiellement dans leurs locaux<\/strong>. Certaines comme Amazon ne l\u00e9sinent pas sur les moyens pour forcer la fin du t\u00e9l\u00e9travail<\/a>. Chez Zoom en revanche, c'est logiquement la norme. En 2022, moins de 2 % des salari\u00e9s de la firme travaillent en pr\u00e9sentiel<\/strong>. Sauf que l'\u00e9tat de gr\u00e2ce semble bel et bien termin\u00e9 : Zoom exige que certains de ses employ\u00e9s retournent au bureau<\/strong>. Ironie quand tu nous tiens.<\/p>\n