Des chercheurs de l'universit\u00e9 de Floride ont entrepris une \u00e9tude sur l'information g\u00e9n\u00e9tique pr\u00e9sente dans l'ADN environnemental trouv\u00e9 dans le sable. Se concentrant d'abord sur les tortues de mer menac\u00e9es d'extinction, ils ont finalement d\u00e9couvert que l'ADN qu'ils avaient recueilli \u00e9tait humain, et d'une qualit\u00e9 remarquable. Ils ont ainsi pu identifier des mutations li\u00e9es \u00e0 des maladies et d\u00e9terminer l'ascendance g\u00e9n\u00e9tique des populations vivant \u00e0 proximit\u00e9. En outre, ils ont pu faire correspondre les donn\u00e9es g\u00e9n\u00e9tiques \u00e0 des individus qui avaient volontairement particip\u00e9 \u00e0 l'\u00e9tude.<\/strong><\/p>\n
Les r\u00e9sultats de la recherche, publi\u00e9s dans la revue scientifique Nature Ecology & Evolution, ont r\u00e9v\u00e9l\u00e9 qu'une multitude de donn\u00e9es personnelles, ancestrales et relatives \u00e0 la sant\u00e9 existent librement dans l'environnement et flottent essentiellement dans l'air qui nous entoure.<\/strong><\/p>\n
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