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C\u2019est un premier trimestre particuli\u00e8rement difficile pour TikTok, qui fait face \u00e0 l\u2019hostilit\u00e9 grandissante de l\u2019Occident<\/strong> \u00e0 son \u00e9gard. En Europe, de premi\u00e8res mesures ont d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 prises, notamment au niveau de la Commission qui interdit d\u00e9sormais \u00e0 ses membres d\u2019utiliser l\u2019application<\/a>, ou plus r\u00e9cemment en France avec l\u2019ouverture d\u2019une enqu\u00eate sur son algorithme par le S\u00e9nat<\/a>. Mais, comme depuis deux ans maintenant, c\u2019est bien aux \u00c9tats-Unis que la v\u00e9ritable guerre se d\u00e9roule.<\/p>\n
Depuis les premiers coups port\u00e9s par l\u2019administration Trump, et les multiples r\u00e9v\u00e9lations sur les pratiques d\u2019espionnage de l\u2019application<\/a>, TikTok n\u2019a pas eu un instant de r\u00e9pit au pays de l\u2019Oncle Sam. L\u2019arriv\u00e9e de Joe Biden au pouvoir n\u2019a fait qu\u2019acc\u00e9l\u00e9rer les choses, comme le r\u00e9v\u00e8le cette semaine le Wall Street Journal. En effet, le gouvernement a trouv\u00e9 une nouvelle m\u00e9thode pour faire plier l\u2019application \u00e0 sa volont\u00e9\u00a0: forcer ses actionnaires chinois \u00e0 vendre leurs parts.<\/strong><\/p>\n