Cr\u00e9dits : 123rf<\/figcaption><\/figure>\n
Lors du d\u00e9ploiement de ChatGPT au grand public, une question a commenc\u00e9 \u00e0 se propager au sein des utilisateurs : l'outil d'OpenAI est-il vou\u00e9 \u00e0 remplacer Google ?<\/strong> D'un c\u00f4t\u00e9, ses d\u00e9fenseurs clament haut et fort que l'IA est capable de formuler ses r\u00e9ponses selon les besoins de chacun, de r\u00e9aliser certaines op\u00e9rations complexes ou encore tout simplement de maintenir une conversation. De l'autre, ses d\u00e9tracteurs soulignent ses limites, notamment temporelles qui l'emp\u00eachent de fournir des r\u00e9ponses sur les r\u00e9cents \u00e9v\u00e9nements.<\/strong><\/p>\n
Aujourd'hui, une nouvelle \u00e9tude est venue trancher dans ce d\u00e9bat houleux. Preply a en effet d\u00e9cid\u00e9 de poser la m\u00eame s\u00e9rie de questions aux deux outils puis d'analyser leurs r\u00e9ponses pour, enfin, d\u00e9terminer qui est le grand gagnant entre les deux. Ces 40 questions ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties en trois niveaux de difficult\u00e9 et s\u00e9lectionn\u00e9es de mani\u00e8re \u00e0 couvrir un large \u00e9ventail de sujet, de la culture \u00e0 la politique en passant par la sant\u00e9<\/strong>. Enfin, les chercheurs ont \u00e9valu\u00e9 les r\u00e9ponses selon une douzaine de crit\u00e8res, tels que le niveau de d\u00e9tail, la neutralit\u00e9 ou encore la clart\u00e9.<\/strong><\/p>\n
Sur le m\u00eame sujet : Cet outil anti-ChatGPT veut en finir avec la triche aux examens, les \u00e9tudiants vont le d\u00e9tester<\/a><\/strong><\/p>\n