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Ce n\u2019est pas souvent que Microsoft \u00e9cope d\u2019une amende en France \u2014 du moins, pas aussi souvent que ses concurrents. Pourtant, la firme de Redmond est coupable des m\u00eames travers que ces derniers, estime la CNIL. Depuis la mise en place du RGPD en Europe, l\u2019organisme de r\u00e9gulation met un point d\u2019honneur \u00e0 ce que les grands groupes facilitent la vie des utilisateurs lorsque ceux-ci refusent de se faire pister.<\/p>\n
Bien \u00e9videmment, c\u2019est encore loin d\u2019\u00eatre la norme. Or, lorsque la CNIL veille au grain, cela peut faire tr\u00e8s mal. Dans un communiqu\u00e9 ce 22\u00a0d\u00e9cembre, la Commission donc annonce avoir inflig\u00e9 une amende de 60\u00a0millions d\u2019euros \u00e0 Microsoft \u00e0 la suite d\u2019une plainte concernant les d\u00e9p\u00f4ts de cookies sur Bing, son moteur de recherche. La CNIL accuse le g\u00e9ant de ne pas proposer un bouton proposant de refuser directement ces derniers, alors qu\u2019il est bien s\u00fbr possible de les accepter en un clic.<\/p>\n
Sur le m\u00eame sujet\u00a0: La CNIL inflige une amende de 300\u2009000\u00a0\u20ac \u00e0 Free pour ne pas avoir s\u00e9curis\u00e9 les donn\u00e9es des utilisateurs<\/a><\/strong><\/p>\n