Pour retrouver la trace d'utilisateurs de services pirates d'IPTV, la police italienne a mis en place une op\u00e9ration particuli\u00e8rement ambitieuse. En effet, une unit\u00e9 sp\u00e9cialis\u00e9e dans la cybercriminalit\u00e9 a redirig\u00e9 l'ensemble du trafic internet du pays pour identifier les abonn\u00e9s de ces services ill\u00e9gaux.<\/strong><\/p>\n
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Ces derniers mois, les op\u00e9rations d'envergure contre les plateformes pirates d'IPTV se sont multipli\u00e9es un peu partout en Europe. Il y a quelques jours, nous avons appris notamment que la police espagnole avait d\u00e9mantel\u00e9 l'un des plus importants services pirates d'IPTV<\/a> du Vieux continent. Il desservait au moins 500 000 personnes, et \u00a0ce depuis pr\u00e8s de dix ans.<\/p>\n
En Angleterre, deux revendeurs de boitiers pirates ont \u00e9cop\u00e9 d'une peine de deux ans de prison<\/a>, tandis qu'un autre citoyen britannique a \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 \u00e0 30 mois d'emprisonnement<\/a> apr\u00e8s avoir gagn\u00e9 plus de 2,6 millions d'euros en revendant des box pirates sous Android.\u00a0<\/strong><\/p>\n