Cr\u00e9dits : Unsplash<\/figcaption><\/figure>\n
Depuis le d\u00e9but de la pand\u00e9mie, Google Maps a fait du partage d'informations li\u00e9es \u00e0 la sant\u00e9 et \u00e0 l'\u00e9cologie une priorit\u00e9. Depuis janvier 2021, on retrouve par exemple les centres de vaccination contre le Covid-19<\/a>, tandis que le service de cartographie affiche d\u00e9sormais en premier lieu les trajets les moins polluants<\/a>.<\/p>\n
La firme de Mountain View cherche depuis ces derni\u00e8res ann\u00e9es \u00e0 devenir une source fiable d'informations sur les questions m\u00e9dicales<\/strong>, “en rendant\u00a0accessibles les informations qui font autorit\u00e9”.\u00a0<\/i>De fait, on pourrait penser que Google Maps applique la m\u00eame rigueur concernant les centres d'avortement. Or et d'apr\u00e8s une r\u00e9cente \u00e9tude de nos confr\u00e8res du site Bloomberg<\/a>, c'est loin d'\u00eatre le cas<\/strong>.<\/p>\n
Le m\u00e9dia rapporte l'histoire de Chey, une \u00e9tudiante de 19 ans r\u00e9sidant \u00e0 Orlando, en Californie. Lorsqu'elle d\u00e9couvre qu'elle est enceinte, elle prend la d\u00e9cision d'avorter. N'ayant personne \u00e0 qui demander conseil, elle se rend sur Google Maps pour trouver la localisation de la clinique d'avortement la plus proche<\/strong>. “Je voulais\u00a0trouver un endroit proche de mon partenaire,\u00a0pour lui dire de venir avec moi”,\u00a0<\/i>explique-t-elle.<\/p>\n