Cr\u00e9dits\u00a0: Unsplash<\/figcaption><\/figure>\n
Les gouvernements du monde entier cherchent encore la meilleure mani\u00e8re de lutter contre le cyberharc\u00e8lement. Tr\u00e8s difficile \u00e0 contenir, encore plus \u00e0 \u00e9radiquer, ce fl\u00e9au de l\u2019\u00e8re r\u00e9seaux sociaux est une v\u00e9ritable \u00e9pine dans le pied des autorit\u00e9s, g\u00e9ants du web et, en premier lieu, des victimes. En France, des initiatives ont bien \u00e9t\u00e9 prises, \u00e0 l\u2019instar d\u2019un projet d\u2019application pour faciliter les signalements<\/a>, dont l\u2019efficacit\u00e9 reste toutefois \u00e0 prouver. Le Japon, lui, a opt\u00e9 pour une solution plus frontale.<\/p>\n
2020\u00a0: le pays est particuli\u00e8rement choqu\u00e9 par le suicide de Hana Kimura, lutteuse professionnelle et star locale de t\u00e9l\u00e9-r\u00e9alit\u00e9, survenue apr\u00e8s une campagne de cyberharc\u00e8lement particuli\u00e8rement virulente. Elle n\u2019avait que 22\u00a0ans. Pourtant, malgr\u00e9 la gravit\u00e9 des faits, deux hommes seront condamn\u00e9s \u00e0 une amende de seulement 65\u00a0euros. Apr\u00e8s le scandale suscit\u00e9 par cette affaire, les autorit\u00e9s ont d\u00e9cid\u00e9 de serrer la vis.<\/p>\n