\n- 1 x Port Jack 3.5 mm<\/td>\n<\/tr>\n<\/tbody>\n<\/table>\n\n
Pour le reste, nous avons un processeur Intel Core de 11e<\/sup> g\u00e9n\u00e9ration<\/strong> (i3 ou i5), 8 ou 16 Go de RAM, 128 ou 512 Go de stockage ainsi qu\u2019un APN arri\u00e8re de 13 m\u00e9gapixels et une cam\u00e9ra frontale de 8 m\u00e9gapixels. La batterie est de 42 Watts. Bref, une fiche technique qui, sortie de son \u00e9cran, se montre tr\u00e8s classique. Nous allons voir que la particularit\u00e9 de cet ordinateur r\u00e9side avant tout dans son format.<\/p>\n
Un PC, une tablette, ou les deux\u00a0?<\/h2>\nLe Huawei MateBook E se compose de deux parties.<\/strong> D\u2019un c\u00f4t\u00e9, nous avons une tablette qui comprend tous les composants. De l\u2019autre, un clavier cover qui permet \u00e0 la fois de l\u2019utiliser comme un laptop classique et de prot\u00e9ger le terminal. Commen\u00e7ons par la tablette. Celle-ci est tr\u00e8s classique dans son approche du format. Grise uniquement, elle est dot\u00e9e d\u2019un capot arri\u00e8re en aluminium tr\u00e8s agr\u00e9able au toucher.<\/strong> On discerne un “Huawei” grav\u00e9 dans le m\u00e9tal ainsi qu\u2019un module photo.<\/p>\n
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Quand on regarde la tablette, nous avons presque l\u2019impression d\u2019avoir un terminal Android comme il en existe beaucoup d\u2019autres.<\/strong> Toutefois, les a\u00e9rations trahissent sa condition de PC. Bien cach\u00e9es dans la tranche sup\u00e9rieure, elles permettent d\u2019\u00e9vacuer l\u2019air par le haut, et donc de ne pas g\u00eaner l\u2019utilisateur. Une technique d\u00e9j\u00e0 utilis\u00e9e sur le Surface Pro.<\/p>\n
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Sur la tranche droite, nous trouvons la pr\u00e9sence d\u2019un port USB Type-C Thunderbolt 4. \u00c0 gauche, un port Jack 3.5 mm ainsi que la touche d\u2019alimentation. Cette derni\u00e8re inclut un capteur d\u2019empreintes qui permet de d\u00e9verrouiller son PC. M\u00eame s\u2019il fonctionne bien au quotidien, son placement \u00e0 gauche est un peu \u00e9trange.<\/strong> L\u2019utilisateur aura en effet plus tendance \u00e0 chercher naturellement \u00e0 droite pour d\u00e9verrouiller son MateBook E. C\u2019est une question d\u2019habitude.<\/p>\n
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L\u2019\u00e9cran de la tablette se montre attrayant, prenant plus de 90% de la fa\u00e7ade gr\u00e2ce \u00e0 ses bords minuscules<\/strong>. On remarque tout de m\u00eame un point sur la partie sup\u00e9rieure : il s\u2019agit de la webcam de 8 m\u00e9gapixels. Elle sait se faire discr\u00e8te. Seule d\u00e9ception : Huawei n\u2019a pas inclus de cache. Dommage.<\/p>\n
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En main, la tablette est agr\u00e9able. Elle est fine (9 mm)<\/strong> et ne p\u00e8se que 710 grammes, ce qui rend son utilisation tr\u00e8s pratique en mode tactile. Rappelons qu'elle est \u00e9quip\u00e9e de Windows 11<\/a>, OS pens\u00e9 pour un usage digital si besoin.<\/p>\n
Enfin, il faut parler de l\u2019intrus de ce design\u00a0: le stylet. Ce dernier, en plastique, est l\u00e9ger et agr\u00e9able en main. Toutefois, Huawei n\u2019a pas trouv\u00e9 d\u2019endroit o\u00f9 le ranger.<\/strong> Pas d\u2019emplacement dans la cover comme sur les Tab S8 de Samsung<\/a> ou sur la Surface Pro 8, ni m\u00eame de logement dans le ch\u00e2ssis de la tablette. Il est possible de l\u2019accrocher de mani\u00e8re magn\u00e9tique sur la tranche sup\u00e9rieure, mais en faisant \u00e7a, c\u2019est la garantie qu\u2019il se d\u00e9tachera si vous placez votre PC dans un sac. On aura alors tr\u00e8s vite fait le laisser le Pen \u00e0 la maison, ce qui est dommage, \u00e9tant donn\u00e9 qu'il fonctionne bien (nous le verrons plus bas).<\/p>\n
L'\u00e9cran OLED, le r\u00e9el atout du MateBook E<\/h2>\nSur son MateBook E, Huawei propose une dalle OLED,<\/strong> chose encore peu commune sur les terminaux Windows. D\u2019une taille de 12,6 pouces, elle dispose d\u2019une d\u00e9finition de 2 560 x 1 600 pixels. \u00c0 noter que nous avons l\u00e0 un \u00e9cran en 60 Hz. Si c\u2019est largement suffisant pour le terminal, du 120 Hz comme sur la Surface Pro 8 n\u2019aurait pas \u00e9t\u00e9 trop.<\/p>\n
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Huawei ne propose qu\u2019un seul type de profil d\u2019affichage pour son \u00e9cran. Dans les param\u00e8tres, on remarque une option d\u2019am\u00e9lioration des couleurs selon l\u2019application choisie (Couleurs adaptatives). En th\u00e9orie, cela permet de rendre les coloris plus naturels lors du visionnage de photos, ou plus impactantes lorsqu\u2019un film est lanc\u00e9. Impossible ici de d\u00e9terminer ce que valent les couleurs \u00e0 l\u2019aide de notre sonde (leur tonalit\u00e9 change constamment), mais \u00e0 l\u2019\u0153il nu, le contrat semble respect\u00e9.<\/strong> Les couleurs affich\u00e9es sur les photos sont naturelles tandis qu\u2019on sent une exag\u00e9ration lors du travail bureautique ou sur Netflix.<\/p>\n
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Nous avons tout de m\u00eame fait les mesures en d\u00e9sactivant cette option et dans ce cas, les couleurs affich\u00e9es sont fluos par rapport aux originales, tandis que l\u2019\u00e9cran tire l\u00e9g\u00e8rement vers le bleu (ce qui n\u2019est pas le cas avec l\u2019option activ\u00e9e). Nous conseillons donc de laisser la fonctionnalit\u00e9 telle quelle. En revanche, nous pouvons affirmer que le contraste est infiniment \u00e9lev\u00e9 sur cette dalle<\/strong>, OLED oblige, ce qui apporte une lisibilit\u00e9 parfaite lors des sc\u00e8nes sombres dans les films, par exemple. De plus, la luminosit\u00e9 maximale fr\u00f4le les 500 cd\/m\u00b2, ce qui permet de travailler sereinement dehors par jour de grand soleil (un gros effort a aussi \u00e9t\u00e9 fait sur les reflets).<\/p>\n
\u00c0 lire aussi – Test Surface Pro 8 : un bon PC, mais un format d\u00e9pass\u00e9<\/a><\/strong><\/p>\n
Une puissance limit\u00e9e, mais ma\u00eetris\u00e9e<\/h2>\nLe Huawei MateBook E est vendu en deux configurations. La premi\u00e8re est \u00e9quip\u00e9e d\u2019un processeur Intel Core i3-1110G4, de 8 Go de RAM et de 128 Go de m\u00e9moire. La deuxi\u00e8me, que nous avons en test, dispose d\u2019un processeur Intel Core i5-1130G7 avec 16 Go de RAM et 512 Go de stockage. Dans les deux cas, nous avons donc une configuration destin\u00e9e avant tout au travail bureautique,<\/strong> donc adapt\u00e9e au format ultra-portable.<\/p>\n
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Le Core i5 apporte une puissance n\u00e9cessaire pour faire tourner des logiciels un peu gourmands, mais sans non plus atteindre des sommets. Il sera ainsi possible de faire du traitement photo et vid\u00e9o sans trop de probl\u00e8mes. Nous avons pouss\u00e9 le PC dans ses derniers retranchements avec des benchmarks et les r\u00e9sultats t\u00e9moignent d\u2019une bonne gestion de la chauffe et du bruit<\/strong>, mais d\u2019un certain manque au niveau de la puissance brute.<\/p>\n
\u00c0 lire aussi – Test Huawei MateBook 16 : le meilleur ordinateur portable 16\u2033, tout simplement<\/a><\/strong><\/p>\n
Cette excellente gestion du bruit et de la chauffe se fait toutefois au d\u00e9triment de la puissance.<\/strong> Lors de nos tests, la cadence du processeur se cale \u00e0 1600 MHz. Si elle est stable, elle ne va jamais au-del\u00e0. Un compromis qui pourrait s\u00e9rieusement agacer ceux qui esp\u00e9raient un peu plus de puissance. Enfin, signalons que l\u2019ordinateur dispose d\u2019un eGPU Intel Iris X. Il sera un peu juste pour jouer \u00e0 des titres peu gourmands (Fortnite et Diablo 2<\/a> oscillent entre 20 et 25 FPS avec les graphismes bas). Pour faire du gaming, il faudra passer par le cloud. Le MateBook E n\u2019a tout simplement pas \u00e9t\u00e9 con\u00e7u pour le jeu vid\u00e9o.<\/p>\n
Sur son MateBook E, Huawei propose une dalle OLED,<\/strong> chose encore peu commune sur les terminaux Windows. D\u2019une taille de 12,6 pouces, elle dispose d\u2019une d\u00e9finition de 2 560 x 1 600 pixels. \u00c0 noter que nous avons l\u00e0 un \u00e9cran en 60 Hz. Si c\u2019est largement suffisant pour le terminal, du 120 Hz comme sur la Surface Pro 8 n\u2019aurait pas \u00e9t\u00e9 trop.<\/p>\n
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Huawei ne propose qu\u2019un seul type de profil d\u2019affichage pour son \u00e9cran. Dans les param\u00e8tres, on remarque une option d\u2019am\u00e9lioration des couleurs selon l\u2019application choisie (Couleurs adaptatives). En th\u00e9orie, cela permet de rendre les coloris plus naturels lors du visionnage de photos, ou plus impactantes lorsqu\u2019un film est lanc\u00e9. Impossible ici de d\u00e9terminer ce que valent les couleurs \u00e0 l\u2019aide de notre sonde (leur tonalit\u00e9 change constamment), mais \u00e0 l\u2019\u0153il nu, le contrat semble respect\u00e9.<\/strong> Les couleurs affich\u00e9es sur les photos sont naturelles tandis qu\u2019on sent une exag\u00e9ration lors du travail bureautique ou sur Netflix.<\/p>\n
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Nous avons tout de m\u00eame fait les mesures en d\u00e9sactivant cette option et dans ce cas, les couleurs affich\u00e9es sont fluos par rapport aux originales, tandis que l\u2019\u00e9cran tire l\u00e9g\u00e8rement vers le bleu (ce qui n\u2019est pas le cas avec l\u2019option activ\u00e9e). Nous conseillons donc de laisser la fonctionnalit\u00e9 telle quelle. En revanche, nous pouvons affirmer que le contraste est infiniment \u00e9lev\u00e9 sur cette dalle<\/strong>, OLED oblige, ce qui apporte une lisibilit\u00e9 parfaite lors des sc\u00e8nes sombres dans les films, par exemple. De plus, la luminosit\u00e9 maximale fr\u00f4le les 500 cd\/m\u00b2, ce qui permet de travailler sereinement dehors par jour de grand soleil (un gros effort a aussi \u00e9t\u00e9 fait sur les reflets).<\/p>\n
\u00c0 lire aussi – Test Surface Pro 8 : un bon PC, mais un format d\u00e9pass\u00e9<\/a><\/strong><\/p>\n