Est-il normal de payer plus cher un service en fonction de crit\u00e8res d\u00e9mographiques ? La r\u00e9ponse est loin d\u2019\u00eatre \u00e9vidente. Un \u00e9tudiant ou un lyc\u00e9en n\u2019a pas les m\u00eames ressources qu\u2019une personne active. Il est donc logique que la premi\u00e8re acc\u00e8de \u00e0 un service \u00e0 un prix moindre. C\u2019est le cas de YouTube qui propose un abonnement premium \u00e0 prix r\u00e9duit<\/a> pour les \u00e9tudiants. C'est \u00e9galement le cas d\u2019Apple ou de Spotify par exemple. Mais un trentenaire doit-il payer moins cher un service qu\u2019un quadrag\u00e9naire qui a peut-\u00eatre le m\u00eame pouvoir d\u2019achat ?<\/p>\n
Lire aussi – Tinder va permettre de v\u00e9rifier votre profil avec votre carte d\u2019identit\u00e9<\/a><\/strong><\/p>\n
Un rapport publi\u00e9 par Mozilla et Consumers International<\/a> expose cette pratique non seulement tr\u00e8s courante, mais \u00e9galement plus complexe qu\u2019il n\u2019y parait. Le document d\u00e9taille la strat\u00e9gie de Tinder<\/a>, la c\u00e9l\u00e8bre application de rencontre sur Internet. Elle propose des services payants, bien \u00e9videmment. Et, officiellement, il existe trois formules : Tinder+, Tinder Gold et Tinder Platinum<\/strong>. Chacun a des prix diff\u00e9rents. Et, officiellement, ceux qui ont moins de 29 ans peuvent payer leur abonnement moins cher.<\/p>\n
