Cr\u00e9dits\u00a0: Unsplash<\/figcaption><\/figure>\n
Les relations entre les \u00c9tats-Unis et la Chine n\u2019ont jamais \u00e9t\u00e9 aussi tendues. Accus\u00e9 d\u2019espionnage depuis plusieurs ann\u00e9es, l\u2019Empire du Milieu d\u00e9ment syst\u00e9matiquement. Pourtant, les rumeurs concernant ses constructeurs de smartphones se multiplient. Ce sont elles qui ont pouss\u00e9 \u00e0 l\u2019exclusion de Huawei des transactions am\u00e9ricaines<\/strong>, ce qui n\u2019a, dit-on, pas emp\u00each\u00e9 la firme d\u2019espionner les Pakistanais<\/a>, mais aussi les Pays-Bas<\/a> sur ordre de son gouvernement. Xiaomi n\u2019est pas en reste puisque le fabricant installerait des backdoors sur ses appareils<\/a>.<\/p>\n
Aussi, \u00e0 l\u2019approche des Jeux Olympiques d\u2019hiver qui se tiendront \u00e0 P\u00e9kin, l\u2019heure est visiblement \u00e0 la prudence. Comme chaque ann\u00e9e, les athl\u00e8tes am\u00e9ricains re\u00e7oivent un document les informant des lois et coutumes locales \u00e0 respecter. Cette ann\u00e9e, le bulletin est quelque peu diff\u00e9rent. Il invite, de mani\u00e8re assez insistante, \u00e0 ne pas emmener son smartphone en Chine<\/strong>. \u00c0 la place, les athl\u00e8tes sont incit\u00e9s \u00e0 opter pour des t\u00e9l\u00e9phones jetables s\u2019ils souhaitent rester en contact avec leurs proches.<\/p>\n