Cr\u00e9dit : Meta<\/figcaption><\/figure>\n
Il n'est pas rare de voir les GAFA \u00e9pingl\u00e9s par les autorit\u00e9s europ\u00e9ennes. Qu'il s'agisse d'utilisation abusive des donn\u00e9es personnelles<\/strong> de leurs utilisateurs ou de pratiques anti-concurrentielles<\/strong>, les g\u00e9ants de la tech sont surveill\u00e9s de pr\u00e8s depuis quelques ann\u00e9es. Facebook, r\u00e9cemment devenu Meta, ne fait pas exception \u00e0 la r\u00e8gle. La derni\u00e8re sanction en date concerne WhatsApp, qui a \u00e9cop\u00e9 d'une amende de 225 millions d'euros pour atteinte \u00e0 la vie priv\u00e9e<\/a>.<\/p>\n
Ces amendes \u00e0 r\u00e9p\u00e9tition sont, \u00e0 force, devenues une part int\u00e9grante du budget de la firme de Mark Zuckerberg, comme en t\u00e9moignent les r\u00e9v\u00e9lations de nos confr\u00e8res de l'Irish Times. Selon ces derniers, la division irlandaise de Meta, qui porte par ailleurs toujours le nom de Facebook, a mis de c\u00f4t\u00e9 la coquette somme de 1,02 milliard d'euros<\/strong>, sp\u00e9cialement d\u00e9di\u00e9e au r\u00e8glement de ses infractions.<\/p>\n
Sur le m\u00eame sujet : M\u00e9tavers – un bout de terrain virtuel se vend 2,4 millions de dollars, un record !<\/a><\/strong><\/p>\n