Wish n\u2019a pas dit son dernier mot. Apr\u00e8s avoir \u00e9t\u00e9 d\u00e9f\u00e9renc\u00e9 de Google et stores d\u2019applications pour avoir vendu un grand nombre de produits dangereux, la plateforme d\u2019e-commerce a fait appel de cette d\u00e9cision de justice. Une audience aura lieu le 10\u00a0d\u00e9cembre prochain.<\/strong><\/p>\n
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Wish ne se laissera pas faire sans riposter. Le 24\u00a0novembre dernier, le gouvernement fran\u00e7ais a ordonn\u00e9 la suppression de Wish dans les r\u00e9sultats des moteurs de recherche<\/a>, suite \u00e0 une enqu\u00eate \u00e9difiante de la Direction g\u00e9n\u00e9rale de la concurrence, de la consommation et de la r\u00e9pression des fraudes (DGCCRF) \u00e0 son sujet. Selon cette derni\u00e8re 90\u00a0% des produits \u00e9lectroniques, 62\u00a0% des bijoux et 42\u00a0% des jouets vendus sur la plateforme sont d\u00e9fectueux et pr\u00e9sentent un danger pour l\u2019utilisateur<\/strong>.<\/p>\n
Une sanction qui a pris effet ce 29\u00a0novembre, date \u00e0 laquelle Wish a disparu de Google ainsi que des stores d\u2019application<\/a>. Pour autant, tout n\u2019est pas encore termin\u00e9. Selon les informations du Parisien, le site de vente en ligne a fait appel de la d\u00e9cision de justice devant le tribunal administratif de Paris. La firme d\u00e9clare que les conclusions de la DGCCRF sont erron\u00e9e<\/strong>s et que, par cons\u00e9quent, sa punition n\u2019a pas lieu d\u2019\u00eatre.<\/p>\n