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Des traces du logiciel espion Pegasus auraient \u00e9t\u00e9 d\u00e9tect\u00e9es dans les smartphones de cinq ministres du gouvernement<\/strong>. \u00a0Les services de s\u00e9curit\u00e9 fran\u00e7ais auraient d\u00e9tect\u00e9 le logiciel espion en inspectant les t\u00e9l\u00e9phones des ministres. Ils auraient d\u00e9couvert que les intrusions ont eu lieu en 2019 et 2020<\/strong>, selon le rapport de Mediapart.<\/p>\n
Pour rappel, Pegasus, fabriqu\u00e9 par l'entreprise isra\u00e9lienne NSO Group, peut activer l'appareil photo ou le microphone d'un t\u00e9l\u00e9phone et collecter ses donn\u00e9es. Il a \u00e9t\u00e9 au centre d'une pol\u00e9mique en juillet apr\u00e8s la fuite d'une liste d'environ 50 000 cibles potentielles dans le monde.<\/a><\/p>\n