Les \u00c9tats-Unis et leurs alli\u00e9s, dont l'Union europ\u00e9enne, le Royaume-Uni et l'OTAN, accusent officiellement la Chine d'\u00eatre responsable de la vaste campagne de piratage de Microsoft Exchange de cette ann\u00e9e.<\/strong><\/p>\n
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Lundi, la Chine a \u00e9t\u00e9 accus\u00e9e par les \u00c9tats-Unis, l'Union europ\u00e9enne, l'OTAN, le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie, la Nouvelle-Z\u00e9lande et le Japon de mener des cyberactivit\u00e9s malveillantes. Ces cyberattaques du d\u00e9but de 2021<\/a> ont vis\u00e9 plus d'un quart de million de serveurs Microsoft Exchange, appartenant \u00e0 des dizaines de milliers d'organisations dans le monde. Dans un communiqu\u00e9, la Maison Blanche a accus\u00e9 la Chine d'utiliser des “hackers contractuels criminels” pour mener des cyberop\u00e9rations<\/strong>. Ces acteurs de la menace auraient men\u00e9 des cyberattaques pour leur profit personnel, notamment des activit\u00e9s impliquant des ransomwares, du cryptojacking et de l'extorsion cybern\u00e9tique<\/strong>.<\/p>\n
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