Cr\u00e9dit : Wikimedia<\/figcaption><\/figure>\n
Lors d'une conf\u00e9rence de presse, M. Trump a pr\u00e9sent\u00e9 trois recours collectifs distincts devant un tribunal f\u00e9d\u00e9ral de Floride contre les g\u00e9ants de la technologie et leurs patrons. Ainsi, Mark Zuckerberg (Facebook), Jack Dorsey (Twitter) et Sundar Pichai (Google)<\/strong> sont \u00e9galement directement vis\u00e9s par les plaintes. Donald Trump m\u00e8ne actuellement une v\u00e9ritable croisade contre les r\u00e9seaux sociaux, puisqu\u2019il avait r\u00e9cemment d\u00e9clar\u00e9 qu\u2019il r\u00eavait d\u2019interdire Twitter et Facebook aux \u00c9tats-Unis<\/a>.<\/p>\n
Apr\u00e8s l'attaque du 6 janvier contre le Capitole, les plateformes de m\u00e9dias sociaux ont rapidement r\u00e9voqu\u00e9 les privil\u00e8ges de publication du pr\u00e9sident Trump, avant de le bannir des plateformes<\/strong>. Pour rappel, Donald Trump comptait environ 89 millions d\u2019abonn\u00e9s sur Twitter, 35 millions sur Facebook et 24 millions sur Instagram au moment de son bannissement des diff\u00e9rentes plateformes. Twitter avait d\u00e9gain\u00e9 en premier<\/a>, suivi de Facebook, qui a r\u00e9cemment choisi de bannir le compte du milliardaire pendant au moins deux ans.<\/a><\/p>\n