L'association de consommateurs UFC-Que Choisir a annonc\u00e9 avoir assign\u00e9 en justice devant le Tribunal de Grande Instance le studio de d\u00e9veloppement de jeux vid\u00e9o Valve \u00e0 l'origine de la plateforme de t\u00e9l\u00e9chargement de jeux vid\u00e9o baptis\u00e9e Steam.<\/strong><\/p>\n
Le communiqu\u00e9 publi\u00e9 par l'UFC-Que Choisir explique qu'apr\u00e8s analyse des conditions g\u00e9n\u00e9rales de diff\u00e9rentes plateformes de jeux en ligne,\u00a0cinq\u00a0pr\u00e9sentaient des clauses pr\u00e9judiciables dont celle de Valve. Cette assignation en justice vise donc \u00e0 obliger la soci\u00e9t\u00e9 am\u00e9ricaine \u00e0 mettre un terme \u00e0 l'application de 12 clauses consid\u00e9r\u00e9es comme abusives, \u00e0 commencer par\u00a0l”interdiction de transfert ou la revente des jeux<\/strong> achet\u00e9s l\u00e9galement sur Steam<\/a>.<\/p>\n
La soci\u00e9t\u00e9\u00a0ne se d\u00e9monte pas pour autant, probablement enorgueillie par sa position dominante dans le secteur vid\u00e9o-ludique. Il n'emp\u00eache que cette interdiction\u00a0est en contradiction avec le bon sens comme le souligne l'association, notamment lorsque l'on consid\u00e8re le prix d'achat de certains titres. Valve n'est pas la seule plateforme \u00e0 proscrire de telles pratiques ce qui \u00e9tonne encore plus puisque aucune d\u00e9cision de justice n'interdit la revente sur le march\u00e9 d'occasion\u00a0au grand dam de Mme Pellerin<\/a>.<\/p>\n
Voici les raisons qui ont amen\u00e9 l'UFC-Que Choisir \u00e0 tra\u00eener Valve et sa plateforme Steam devant la justice. Difficile de dire comment les choses vont \u00e9voluer, rappelons que si vous souhaitez vous faire rembourser un jeu, vous le pouvez dans les 14 jours suivant l'achat<\/a> cependant, vous ne devrez pas y avoir jou\u00e9 plus de 2 heures.<\/p>\n