Cr\u00e9dits : Pixabay<\/figcaption><\/figure>\n
Depuis le 1er\u00a0janvier 2021<\/strong>, les constructeurs de smartphones \u2014 et d\u2019appareils \u00e9lectroniques de mani\u00e8re g\u00e9n\u00e9rale \u2014 doivent afficher un indice de r\u00e9parabilit\u00e9 sur leur \u00e9tiquette. Allant de 0 \u00e0 10, cette note s\u2019accompagnera d\u2019un indice de durabilit\u00e9 d\u00e8s 2024<\/strong>. Le but \u00e9tant de favoriser l\u2019\u00e9conomie circulaire, en donnant aux consommateurs une id\u00e9e de la dur\u00e9e de vie de leur appareil, afin d\u2019\u00e9viter le gaspillage ou un remplacement trop pr\u00e9cipit\u00e9.<\/p>\n
L\u2019indice de r\u00e9parabilit\u00e9 se base sur cinq crit\u00e8res : la documentation du constructeur, la possibilit\u00e9 de d\u00e9monter le smartphone, la disponibilit\u00e9 des composants, leur prix et l\u2019anciennet\u00e9 du syst\u00e8me d\u2019exploitation<\/strong> (pour les smartphones uniquement). La note finale est une moyenne de r\u00e9sultats obtenus dans chaque cat\u00e9gorie. L\u2019id\u00e9e est donc d\u2019orienter les acheteurs vers des produits plus durables. On estime que seulement 40\u00a0% des appareils vendus aujourd\u2019hui sont r\u00e9par\u00e9s. Le gouvernement vise les 60\u00a0% d\u2019ici 2026<\/strong>.<\/p>\n