Cr\u00e9dits : Markus Spiske\/Unsplash<\/figcaption><\/figure>\n
Les failles de s\u00e9curit\u00e9, chez Windows, on conna\u00eet. Certaines d\u2019entre elles sont rapidement rep\u00e9r\u00e9es et\u00a0<\/strong>corrig\u00e9es<\/b>, tandis que d\u2019autres sommeillent tranquillement pendant plusieurs ann\u00e9es<\/a>. Malgr\u00e9 les multiples patchs r\u00e9currents de Microsoft, les hackers parviennent toujours \u00e0 d\u00e9nicher de nouveaux moyens d\u2019attaquer des PC vuln\u00e9rables. Parmi eux, on en trouve parfois de tr\u00e8s originaux.<\/p>\n
R\u00e9cemment, Google a ainsi d\u00e9couvert une faille au niveau d\u2019une police Windows<\/strong>, ou plus pr\u00e9cis\u00e9ment du moteur de rendu de celle-ci, baptis\u00e9 Microsoft DirectWrite. La plupart des navigateurs populaires, tels que Chrome, Firefox ou encore Edge, utilisent ce dernier pour mod\u00e9liser certains glyphes<\/strong>. La vuln\u00e9rabilit\u00e9 d\u00e9tect\u00e9e permet quant \u00e0 elle \u00e0 un programme malveillant d\u2019acc\u00e9der au noyau du syst\u00e8me d\u2019exploitation, sans que l\u2019utilisateur s\u2019en rende compte<\/strong>.<\/p>\n
Sur le m\u00eame sujet \u2014 3,2\u00a0milliards de logins et mots de passe pirat\u00e9s ont fuit\u00e9 : v\u00e9rifiez si votre adresse email en fait partie<\/a><\/strong><\/p>\n