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En 2012, lors du lancement de la 4G en France, Bouygues Telecom frappait un grand coup en terme de couverture du r\u00e9seau. Alors qu\u2019Orange et SFR d\u00e9ployait des antennes sur des bandes de fr\u00e9quence d\u00e9di\u00e9e, Bouygues Telecom obtenait une autorisation d\u00e9cisive de l\u2019Arcep\u00a0: celle de convertir des antennes 2G<\/strong>, fonctionnant sur la bande des 800 MHz, en antenne 4G. Et des antennes 800 MHz, l\u2019op\u00e9rateur en avait partout en France. Instantan\u00e9ment, Bouygues Telecom couvrait pratiquement tout le territoire en 4G. La d\u00e9cision du gendarme des t\u00e9l\u00e9coms a ensuite \u00e9t\u00e9 appliqu\u00e9e \u00e0 tous les op\u00e9rateurs.<\/p>\n
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Huit ans plus tard, Free semble avoir la m\u00eame id\u00e9e. R\u00e9utiliser ses antennes en 800 MHz pour faire passer de la 5G. Et surtout couvrir le territoire plus rapidement que la concurrence. Ainsi, Free Mobile peut se targuer d\u2019avoir plus de 5500 antennes 5G actives en France, dont 5300 sur les bandes de fr\u00e9quences 700 ou 800 MHz<\/strong> (les 200 restants tirant parti des fr\u00e9quences r\u00e9cemment acquises sur la bande des 3500 MHz). Ce chiffre a \u00e9t\u00e9 r\u00e9v\u00e9l\u00e9 par l\u2019Arcep dans la premi\u00e8re \u00e9dition de son observatoire de la 5G publi\u00e9e cette semaine.<\/p>\n