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Souvenez-vous, c'\u00e9tait l'un des dossiers br\u00fblants des derniers mois de l'administration Trump. TikTok et WeChat, deux applications chinoises particuli\u00e8rement populaires, sont soup\u00e7onn\u00e9s par le gouvernement am\u00e9ricain d'\u00eatre une menace pour la s\u00e9curit\u00e9 int\u00e9rieure. R\u00e9sultat, les applications sont bannies de l'App Store et du Google Play Store<\/a>. Prochaine \u00e9tape, les exclure du territoire US.<\/p>\n
Seulement, Trump propose une porte de sortie pour WeChat et TikTok : trouver un repreneur am\u00e9ricain pour \u00e9viter les foudres du locataire de la Maison Blanche<\/a>. Apr\u00e8s une tentative d'approche de Microsoft, puis de Twitter, Oracle et Walmart s'imposent comme les repreneurs d\u00e9finitifs de tous les actifs am\u00e9ricains de TikTok<\/a> \u00e0 son propri\u00e9taire, la compagnie chinoise ByteDance.<\/p>\n
Toutefois, Donald Trump n'\u00e9tait pas encore totalement satisfait. Il validera cet accord commercial \u00e0 une seule condition : il exige que le code de l'application de TikTok soit r\u00e9\u00e9crit et stock\u00e9 aux \u00c9tats-Unis<\/a>. Le pr\u00e9sident a formul\u00e9 cette exigence le 1er octobre 2020. Et depuis… Plus rien.<\/p>\n