Cr\u00e9dit : Unsplash<\/figcaption><\/figure>\n
Comment Google et Apple choisissent-ils les applications qui figurent dans leur boutique applicative\u00a0? Quelles sont les conditions pour rester et quels sont les tarifs\u00a0? Voil\u00e0 des questions auxquelles peu de personnes peuvent r\u00e9pondre. Et aucune n\u2019a vraiment envie d\u2019y r\u00e9pondre. L\u2019enjeu \u00e9conomique est \u00e9videmment \u00e9norme\u00a0: chez Apple, par exemple, les services (App Store, Apple Pay, Apple Music, Apple TV+, iCloud, etc.) sont devenus la seconde source de revenus de la firme<\/a>, derri\u00e8re les iPhone. Et ils sont amen\u00e9s \u00e0 passer en t\u00eate.<\/p>\n
Lire aussi – L\u2019App Store d\u2019Apple rapporte toujours trois fois plus d\u2019argent que le Play Store de Google<\/a><\/strong><\/p>\n
Pourtant, ces questions sont importantes\u00a0: elles impactent bien \u00e9videmment les d\u00e9veloppeurs qui vivent de la distribution de leurs applications, mais aussi les consommateurs qui les ach\u00e8tent. Comment \u00eatre s\u00fbr que l\u2019App Store respecte les r\u00e8gles d\u2019une libre concurrence quand Apple y vend ses propres produits et valide en m\u00eame temps les mises \u00e0 jour de ses concurrents\u00a0? Nous pensons \u00e0 Deezer, Spotify ou Pandora par exemple, concurrents d\u2019Apple Music.<\/p>\n