Cr\u00e9dits : A4-Nieuws via Flickr (CC BY-SA 2.0)<\/figcaption><\/figure>\n
Huawei a demand\u00e9 lundi 3 f\u00e9vrier \u00e0 la Federal Communications Commission (FCC) de ne plus accuser le groupe d'\u00eatre une menace pour la s\u00e9curit\u00e9 nationale des Etats-Unis. Selon le constructeur, les efforts de l'autorit\u00e9 sont “ill\u00e9gaux et d\u00e9voy\u00e9s”<\/em>. Dans un document de 200 pages, Huawei affirme en effet que l'action de la FCC “a \u00e9t\u00e9 con\u00e7ue pour impl\u00e9menter la campagne de certains officiels gouvernementaux, dont des membres du Congr\u00e8s, pour exposer Huawei \u00e0 des restrictions p\u00e9nibles et stigmatisantes, lui faire mettre la cl\u00e9 sous la porte aux Etats-Unis, et endommager sa r\u00e9putation ici et autour du monde”<\/em>.<\/p>\n
Huawei n'a pas oubli\u00e9, en effet, que certains des d\u00e9crets de l'administration Trump, comme par exemple le “travel ban”<\/em>\u00a0anti-immigration de son d\u00e9but de mandat, ont \u00e9t\u00e9 annul\u00e9s par des tribunaux. En interc\u00e9dant aupr\u00e8s de la FCC, Huawei peut ainsi esp\u00e9rer que l'un des contre-pouvoirs am\u00e9ricains finisse par jouer en sa faveur. En novembre, la FCC avait vot\u00e9 \u00e0 l'unanimit\u00e9 de d\u00e9signer Huawei et ZTE comme des menaces pour la s\u00e9curit\u00e9 nationale, dans le but de les exclure d'un appel d'offre dans les zones rurales<\/a>.<\/p>\n