L'ANSES s'inqui\u00e8te dans un rapport pr\u00e9liminaire publi\u00e9 d'image 26 janvier 2020 du manque d'\u00e9tudes permettant de conclure \u00e0 la non dangerosit\u00e9 de la 5G. L'agence pr\u00e9sente dans ce rapport la litt\u00e9rature scientifique disponible, ainsi que des champs d'\u00e9valuation des risques distincts qui correspondent aux bandes de fr\u00e9quence 5G 3,5 GHz est 26 GHz. Le pr\u00e9-rapport est la cons\u00e9quence d'une saisine du minist\u00e8re de la Sant\u00e9 afin d'\u00e9valuer les risques sanitaires de l'exposition aux ondes de la 5G. Ce rapport devrait d\u00e9boucher sur une enqu\u00eate plus pouss\u00e9e permettant d'\u00e9valuer l'impact r\u00e9el sanitaire de l'exposition \u00e0 ces fr\u00e9quences.<\/p>\n
La question de l'impact des bandes de fr\u00e9quences 5G sur la sant\u00e9 est l'une de celles qui revient r\u00e9guli\u00e8rement dans les d\u00e9bats autour du d\u00e9ploiement de la technologie. Deux ONG, Agir pour l'Environnement et Priaterm-Electrosensibles de France ont d'ailleurs d\u00e9pos\u00e9 un recours la semaine derni\u00e8re pour tenter d'emp\u00eacher l'attribution de ces fr\u00e9quences aux op\u00e9rateurs<\/a>. Pourtant, malgr\u00e9 ces quelques nuages, le calendrier d'attribution des fr\u00e9quences reste pour l'heure inchang\u00e9, et les premi\u00e8res offres d'abonnement devraient \u00eatre commercialis\u00e9es d'ici la fin de l'ann\u00e9e 2020<\/a>. L'ANSES identifie ainsi deux risques.<\/p>\n
