Credit to Nodstrum.com<\/figcaption><\/figure>\n
Le RGPD, le r\u00e8glement g\u00e9n\u00e9ral sur la protection des donn\u00e9es, est entr\u00e9 en vigueur le 25 mai 2018 en Europe<\/strong>. Cette r\u00e9glementation cadre l\u2019usage des donn\u00e9es personnelles, en obligeant notamment tous les services Internet \u00e0 obtenir le consentement des usagers et \u00e0 offrir un moyen de revenir sur ce consentement. Le but : prot\u00e9ger les consommateurs et les sensibiliser \u00e0 l\u2019usage publicitaire des donn\u00e9es personnelles.<\/p>\n
Lire aussi : Google est accus\u00e9 d\u2019avoir trich\u00e9 pour voler vos donn\u00e9es personnelles en secret<\/a><\/strong><\/p>\n
Si les sites Internet ont globalement adh\u00e9r\u00e9 \u00e0 cette obligation, les applications pour smartphone n\u2019ont visiblement pas encore franchi cette \u00e9tape. Une \u00e9tude publi\u00e9e par le Forbrukerradet, le conseil des consommateurs norv\u00e9gien, alerte les autorit\u00e9s europ\u00e9ennes sur le comportement des applications les plus populaires du Play Store. Une dizaine d\u2019applications ont \u00e9t\u00e9 \u00e9tudi\u00e9es, dont une partie non n\u00e9gligeable est d\u00e9di\u00e9e aux rencontres. Nous y retrouvons Tinder, d\u00e9j\u00e0 sujet d'une longue enqu\u00eate publi\u00e9e en 2019<\/a>, OkCupid, Grindr ou encore Happn. Et le constat est accablant<\/strong>.<\/p>\n