Samsung opte pour une puce Exynos 9610, 4GB de RAM et 128 Go de stockage<\/strong> (extensible par microSD), un combo milieu de gamme honorable dans ce segment de prix. Malheureusement, malgr\u00e9 la bonne optimisation de One UI, les performances se r\u00e9v\u00e8lent d\u00e9cevantes.<\/p>\n
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Les composants choisis par Samsung sont cens\u00e9s assurer l\u2019essentiel pour une utilisation quotidienne. Ce n\u2019est pas le cas. D\u00e8s les premiers jours, le Galaxy A50 a montr\u00e9 des signes de faiblesses<\/strong>, notamment dans la gestion du multit\u00e2che. \u00c0 partir de cinq ou six applications ouvertes simultan\u00e9ment, le smartphone ralentit (animations saccad\u00e9es, freezes) et souffre de quelques bugs. La manifestation de telles lenteurs d\u00e8s les premiers jours n\u2019augure rien de bon sur le long terme.<\/p>\n
Le Galaxy A50 se rattrape bien avec de bonnes performances graphiques<\/strong>. Sur PUBG Mobile, les param\u00e8tres sont r\u00e9gl\u00e9s par d\u00e9faut sur “\u00e9lev\u00e9” sans HDR. Dans ces conditions, l\u2019exp\u00e9rience se r\u00e9v\u00e8le fluide, avec de rares baisses de framerate. Nous ne conseillons pas de forcer le mode HDR puisqu\u2019il ralentit le jeu de mani\u00e8re significative.<\/p>\n
Asphalt 9 et la plupart des jeux de voiture fonctionnent parfaitement. Vous pouvez jouer les play-offs sur NBA Live sans aucun probl\u00e8me. En revanche, le Galaxy A50 n\u2019est pas (encore ?) compatible avec Fortnite.<\/strong> Notons que Samsung a bien travaill\u00e9 sur la diffusion de la chaleur. Le smartphone peut monter l\u00e9g\u00e8rement en temp\u00e9rature, mais cela reste raisonnable. C\u2019est d\u2019autant plus remarquable que nous l\u2019avons test\u00e9 pendant la canicule de fin juin 2019.<\/p>\n
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