Huawei travaille sur un OS alternatif \u00e0 Android depuis 2012. Craignant que Google ne le prive de licence, le constructeur chinois a mis au point un plan B dans le plus grand secret. Press\u00e9 par le d\u00e9cret de Donald Trump et son exclusion du march\u00e9 am\u00e9ricain, le groupe a acc\u00e9l\u00e9r\u00e9 les tests ces derni\u00e8res semaines. Malgr\u00e9 tout, Huawei ne serait pas vraiment pr\u00eat \u00e0 d\u00e9ployer son OS dans le monde entier.\u00a0<\/strong><\/p>\n
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En 2012, Ren Zhengfei, fondateur de Huawei, a convoqu\u00e9 une petite \u00e9quipe de cadres afin de mettre sur pied une r\u00e9ponse chinoise \u00e0 Android<\/strong>, rapportent nos confr\u00e8res du South China Morning Post. Lors de cette r\u00e9union \u00e0 huit clos, ils ont esquiss\u00e9 les grandes lignes de l'OS maison de la marque.<\/p>\n
Lire \u00e9galement :\u00a0<\/strong>Huawei, Android, ARM et Trump \u2013 le point sur la situation<\/strong><\/a><\/p>\n