La 5G utilise des fr\u00e9quences semblables \u00e0 celles observ\u00e9es par une partie des instruments des satellites d'observation m\u00e9t\u00e9orologique. Des scientifiques s'inqui\u00e8tent dans Nature de l'impact que ces ondes peuvent avoir sur la collecte de donn\u00e9es. Ils estiment que les pr\u00e9visions m\u00e9t\u00e9o pourraient en p\u00e2tir et devenir significativement moins pr\u00e9cises si aucune mesure n'est prise par les op\u00e9rateurs.<\/strong><\/p>\n
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Alors que les Etats-Unis ont commenc\u00e9 les ench\u00e8res pour attribuer des fr\u00e9quences 5G aux op\u00e9rateurs, un groupe de m\u00e9t\u00e9orologues s'inqui\u00e8te de l'impact de la technologie sur l'observation de la plan\u00e8te. Les chercheurs rel\u00e8vent que parmi les fr\u00e9quences attribu\u00e9es, deux groupes de fr\u00e9quences – entre 24,25 et 24.45 GHz et entre 24.75 et 25.25 GHz – sont dangereusement proches de la bande 23,8 GHz, surveill\u00e9e par les centres m\u00e9t\u00e9orologiques partout dans le monde.<\/p>\n
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