Stadia fait plut\u00f4t les affaires de Shadow pour le moment, \u00e0 en croire le PDG de Blade dans une interview accord\u00e9e \u00e0 Slate. Celui-ci explique que la pr\u00e9sentation de Stadia a permis de faire d\u00e9couvrir le cloud gaming aupr\u00e8s du grand public. Pour l'heure, il souligne que l'offre de Google n'est pas pr\u00eate contrairement \u00e0 Shadow qui dispose encore d'un certain temps pendant lequel Blade sera seul sur le march\u00e9. La firme estime avoir une carte \u00e0 jouer m\u00eame apr\u00e8s le lancement de Stadia, en cultivant diff\u00e9rence apport\u00e9e par Shadow : \u00e0 Google le cloud gaming<\/em>, Shadow fait du cloud computing<\/em>.\u00a0<\/strong><\/p>\n
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L'annonce de Stadia<\/a> a fait des heureux – mais elle a aussi jet\u00e9 un froid sur l'industrie, alors que d\u00e9sormais certains acteurs devront peut-\u00eatre concurrencer frontalement Google, ses infrastructures, ses parts de march\u00e9 et ses moyens quasi-illimit\u00e9s. Evidemment, on ne peut s'emp\u00eacher de penser \u00e0 Shadow, le premier PC dans le cloud grand public<\/a> du march\u00e9 – et \u00e0 l'ambiance dans les locaux de l'entreprise lorsqu'ils ont d\u00e9couvert l'offre de Stadia<\/a>. Emmanuel Freund, le patron de Blade (qui commercialise Shadow) parle de la conf\u00e9rence Stadia et de ses cons\u00e9quences pour sa firme dans une interview accord\u00e9e au blog Korii de Slate<\/a>.“Je pensais qu'ils allaient plut\u00f4t parler de leur exclusivit\u00e9 sur certains jeux vid\u00e9o ou de leur catalogue. Je ne m'attendais pas \u00e0 une pr\u00e9sentation \u00e0 l'am\u00e9ricaine, une vraie keynote, un feu d'artifice avec la pr\u00e9sentation d'\u00e9norm\u00e9ment de fonctionnalit\u00e9s. Quand j'ai vu \u00e7a, je me suis dit: Putain, ils sont forts”<\/em>, se souvient Emmanuel Freund.<\/p>\n