L'ANFR avait mis en demeure Xiaomi pour avoir d\u00e9pass\u00e9 la limite du DAS sur deux de ses mod\u00e8les de 2018 : le Redmi Note 5 et le Mi Mix 2S. Leurs DAS \u00ab t\u00eate \u00bb et \u00ab tronc \u00bb sont all\u00e9s au-del\u00e0 de la borne r\u00e9glementaire. Une mise \u00e0 jour logicielle a \u00e9t\u00e9 d\u00e9ploy\u00e9e par le constructeur. L'Agence nationale des fr\u00e9quences constate le retour \u00e0 la norme des deux mod\u00e8les.<\/strong><\/p>\n
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Les smartphones nous exposent aux ondes \u00e9lectromagn\u00e9tiques. Des limites sont fix\u00e9es par l'ANFR qui veille strictement \u00e0 ce que les smartphones commercialis\u00e9s en France n'\u00e9mettent pas trop d'ondes<\/a>. C'est ainsi qu'en juillet 2018, l'agence nationale des fr\u00e9quences avait mis en demeure Xiaomi pour deux mod\u00e8les commercialis\u00e9s dans l'hexagone : le Redmi Note 5<\/a> et le Mi Mix 2S<\/strong> qui d'apr\u00e8s les tests \u00e9mettaient un DAS trop \u00e9lev\u00e9<\/strong>.<\/p>\n