La taxe Netflix et YouTube va finalement rapporter beaucoup plus que pr\u00e9vu. Ce sera une dizaine de millions d'euros comparativement aux 2 millions d'euros initialement estim\u00e9s. Pour la pr\u00e9sidente du Centre national du cin\u00e9ma et de l'image anim\u00e9e, c'est peu, mais il est d\u00e9j\u00e0 important d'avoir int\u00e9gr\u00e9 ces plateformes au syst\u00e8me d'exploitation culturelle en France.<\/strong><\/p>\n
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Une taxe est entr\u00e9e en vigueur depuis le 1er janvier 2018 et s'applique \u00e0 Netflix, YouTube, Amazon Prime et \u00e0 toutes les autres plateformes de vid\u00e9o \u00e0 la demande<\/a>, y compris Apple (via iTunes) : 2% sur le chiffre d'affaires. Les recettes sont revers\u00e9es au Centre national du cin\u00e9ma et de l'image anim\u00e9e CNC), le but \u00e9tant de mettre \u00e0 contribution ces services num\u00e9riques dans le financement du cin\u00e9ma fran\u00e7ais.<\/p>\n
Apr\u00e8s une pr\u00e9vision initiale qui tablait de 2 millions d'euros, le CNC avait finalement r\u00e9\u00e9valu\u00e9 les recettes de la taxe Netflix \u00e0 7 millions d'euros<\/a> vers la fin de l'ann\u00e9e \u00e9coul\u00e9e. Finalement, les g\u00e9ants du streaming auraient rapport\u00e9 une dizaine de millions d'euros au cin\u00e9ma fran\u00e7ais en 2018.<\/p>\n