YouTube, Netflix, Amazon Prime Video, ou encore Apple (via iTunes)… toutes les entreprises \u00e9trang\u00e8res doivent d\u00e9esormais verser une “taxe vid\u00e9o” \u00e9quivalent \u00e0 2% de leur chiffre d'affaires depuis le 1er janvier 2018. Ce nouveau pr\u00e9l\u00e8vement permet de d\u00e9gager 7 millions d'euros pour le CNC – un chiffre de 250% sup\u00e9rieur au montant initialement estim\u00e9 de 2 millions d'euros et qui compense la baisse de rendement de la taxe sur les support physiques.\u00a0\u00a0<\/strong><\/p>\n
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Depuis le d\u00e9but de l'ann\u00e9e, YouTube, Netflix, et plus largement tous les acteurs du streaming vid\u00e9o en ligne doivent s'acquitter de 2% de leur chiffre d'affaires. Cette nouvelle taxe s'applique depuis le 1er janvier 2018 suite \u00e0 une r\u00e9forme de la Taxe sur les Services Vid\u00e9o (TSV). La somme est ensuite revers\u00e9e au Centre National de la Cin\u00e9matographie et de l'image anim\u00e9e. Sont concern\u00e9s par le pr\u00e9l\u00e8vement les ventes en ligne de films, s\u00e9ries, les abonnements vid\u00e9o et les revenus publicitaires.<\/p>\n