L'IPv6 tarde \u00e0 se d\u00e9mocratiser chez les FAI en France, en particulier chez SFR et Bouygues Telecom. L'Arcep exhorte tous les op\u00e9rateurs \u00e0 mettre un coup d'acc\u00e9l\u00e9rateur sur les d\u00e9ploiements alors que\u00a0la date de fin de disponibilit\u00e9 de l\u2019IPv4 en Europe approche. Et que l'iPv4 ne pourra pas r\u00e9sister tr\u00e8s longtemps \u00e0 la mont\u00e9e en puissance des objects connect\u00e9s. Au risque de cr\u00e9er un internet “scind\u00e9 en deux”, pr\u00e9vient l'Arcep.\u00a0<\/strong><\/p>\n
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Le d\u00e9ploiement d'IPv6 coince chez les FAI fran\u00e7ais : l'Arcep lance le premier barom\u00e8tre IPv6 pour faire le point sur les enjeux de cette technologie, et l'\u00e9tat d'avancement du d\u00e9ploiement chez les op\u00e9rateurs. Fin juin 2018, rappelle l'Arcep,\u00a0“les quatre principaux op\u00e9rateurs fran\u00e7ais (Bouygues Telecom, Free, Orange, SFR) ont d\u00e9j\u00e0 affect\u00e9 entre environ 88% et 99% des adresses IPv4 qu\u2019ils poss\u00e8dent”.\u00a0<\/em>Or tous ne semblent pas pr\u00eats \u00e0 faire face \u00e0 la p\u00e9nurie annonc\u00e9e d'adresses IPv4 sur fonds de mont\u00e9e en puissance des objets connect\u00e9s.<\/p>\n