La crise chez Altice se poursuit, et cette fois-ci c'est \u00e0 la filiale SFR de donner de la voix. Des repr\u00e9sentants du comit\u00e9 central d'entreprise ont vot\u00e9 une motion de d\u00e9fiance \u00e0 l'encontre de la direction remani\u00e9e par Patrick Drahi. Les membres du Comit\u00e9 sont inquiet du plan de d\u00e9part volontaire qui touche l'entreprise et des grandes r\u00e9organisations en interne et se demande si il y a “encore un pilote dans l'avion”. Ils exhortent Patrick Drahi de ne pas g\u00e9rer son groupe “comme une PME de 2000 salari\u00e9s”.\u00a0<\/strong><\/p>\n
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Le comit\u00e9 central d'entreprise de la filiale d'Altice<\/strong>,\u00a0SFR<\/strong> a vot\u00e9 mercredi 29 novembre une motion de d\u00e9fiance \u00e0 l'encontre de sa direction. Cette instance co-d\u00e9cisionnaire reproche \u00e0 son \u00e9quipe dirigeante les grandes manoeuvres qui ont lieu en interne depuis le rachat de l'entreprise il y a trois ans, et le management de Patrick Drahi. Les syndicats disent douter de l'approche de Patrick Drahi comme les “augmentations de tarifs d\u00e9lirantes”, la suppression d'un tiers des effectifs de l'entreprise, le limogeage de Michel Combes et plus largement la r\u00e9organisation de la hi\u00e9rarchie puissent amorcer une fin de crise.<\/p>\n