C'est loin d'\u00eatre neuf, le richissime fondateur de Facebook, le c\u00e9l\u00e8bre Mark Zuckerberg, veut sauver le monde. D\u00e9j\u00e0 en f\u00e9vrier dernier, le CEO affirmait sans d\u00e9tour vouloir “cr\u00e9er une communaut\u00e9 mondiale”\u00a0<\/em>\u00a0autour de son embl\u00e9matique r\u00e9seau social. Entres ambitions humanitaires d\u00e9mesur\u00e9es et ambitions pr\u00e9sidentielles, la fronti\u00e8re est parfois bien mince.\u00a0<\/strong><\/p>\n
Apr\u00e8s le cow-boy et acteur Ronald Reagan et apr\u00e8s le pr\u00e9sentateur d'\u00e9missions de t\u00e9l\u00e9-r\u00e9alit\u00e9 Donald Trump, le prochain pr\u00e9sident des USA d\u00e9nu\u00e9 d'un bagage politique classique sera-t-il un g\u00e9nie de la technologie ? Selon la rumeur, l'un des PDG les plus appr\u00e9ci\u00e9s par ses employ\u00e9s ambitionne plus que s\u00e9rieusement de d\u00e9m\u00e9nager \u00e0 la Maison Blanche. Et ce, d\u00e8s 2020. Pourquoi n'est-ce pas si fou ?<\/p>\n